La flambée des prix pousse à la consommation de viande de chat. Une situation alarmante pour la santé publique.

Dans un contexte de la cherté de la viande au Burundi, des discussion sur WhatsApp sont chaudes et suscitent des inquiétudes et des débats autour des pratiques alimentaires au Burundi, en particulier concernant la consommation de chats et de chattes. C’est suite à la circulation des personnes burundaises surprises en train de faire la commercialisation de la viande du chat.
Les participants à la conversation ont relayé dans plusieurs groupes WhatsApp des images de deux personnes burundaises menottées et des cadavres de chats qu’il voulaient abattre avant de vendre leur viande, une pratique alimentaire peu conventionnelles au Burundi. Des intervenants, ont souligné que la viande du chat est souvent vendu sans que les consommateurs soient au courant.
Ils évoquent des méthodes de préparation dérangeantes, affirmant que le chèvre suspendu est utilisé de manière à tromper le public alors que les bouchers sont en train de servir de la viande du chat ou du chien. Cette situation soulève des questions éthiques et morales sur les choix alimentaires en période de la cherté de la viande.
Certains burundais soupçonnent des effets de la stabulation sur la disponibilité des animaux de consommation. Un commentateur souligne que les prix d’un poulet a atteint 100 mille BIF, tandis que celui du chèvre frôle les 500 000 BIF. Cette flambée des prix témoigne d’une pression économique où la demande excède l’offre. Et face à cette inflation, certains consommateurs estiment qu’il faut réévaluer les choix alimentaires et aller vers de nouvelles options bien qu’elles controversées tandis d’autres décident d’être vigilants pour ne pas consommer du n’importe quoi.
Ces derniers jugent qu’il est crucial que les autorités sanitaires prennent la parole. une participante à la discussion, appelle à consulter des experts en santé pour examiner les implications sanitaires de ces pratiques.
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