Burundi:C’est un travail louable, se réjouit la FENADEB.

La FENADEB se réjouit du procès prononcé a l endroits de quatre personnes dont deux femmes et deux hommes par le tribunal de grande instances de Rutana accusées de meurtre les unes, et de trafic humais les autres. Ferdinand Simbaruhije porte-parole de cette fédération demande aux autres tribunaux d’emboiter le pas et d’accomplir correctement leur travail afin de faire face à ce phénomène qui est devenu monnaie courante au Burundi.
La fédération nationale des associations engagées dans le domaine de l’enfance au Burundi FENADEB salut le verdict prononce par le tribunal de grande instance de Rutana à l’endroit de quatre personnes dont deux femmes et deux hommes dans un procès de fraglance de ce lundi soir.
Ferdinand Simbaruhije le porte-parole de la FENADEB fait savoir que de telle situation est devenue monnaie courante au Burundi depuis ces derniers jours. Il demande aux autres tribunaux d’emboiter le pas pour prendre des décisions qui tendent à décourager des comportements de certaines gens qui s’arrogent le droit de violer les droits humains jusqu’ à tuer leurs propres enfants.
Concernant le cas des enfants qui ont été victimes du trafic des êtres humains la FENADEB promet de s’impliquer beaucoup pour y faire face et d’aider ces enfants à regagner leurs familles respectifs :" En tant que la fédération nationale des associations engagées dans le domaine de l’enfance nous nous engageons de faire tout pour réintégrer tous ces enfants victimes du trafic dans leurs familles respectifs."
Cette réaction de la FENADEB intervient après le verdict rendu par le tribunal de grande instance de Rutana à l’endroit de deux femmes dans un procès de frglance de ce lundi soir. Toutes ces deux femmes ont été accusées d’avoir tué leurs propres enfants qu’elles venaient de mettre au monde et vont écoper d’une peine de 20ans de servitude pénale chacune.
Au cours de ce même procès le tribunal à statuer sur le cas de deux hommes originaires de la province Makamba qui ont été appréhendés étant dans le trafic des enfants mineurs vers la Tanzanie. Ces derniers vont écoper une peine de 5 ans de prison l’un et l’autre 3 ans pour complicité.
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