Le 5 février 2025 à l’occasion de la fête de l’Unité nationale l’organisation Parcem, dirigée par Faustin Ndikumana, a partagé ses propositions pour renforcer l’unité des Burundais et accélérer le développement du pays.

Selon Parcem, l’une de ce piliers est l’identité collective et ancienne du Burundi. De plus, en dépit des défis passés, le pays bénéficie d’une identité partagée, véhiculée par une langue commune et des coutumes similaires. Donc pour Parcem, cette richesse culturelle constitue un véritable levier pour renforcer la cohésion sociale et la solidarité entre les citoyens.

De surcroît, le passé du Burundi, bien que marqué par de profondes tragédies, joue également un rôle crucial dans le processus de réconciliation. La charte de l’Unité nationale et les accords d’Arusha sont des fondations solides qui permettent de bâtir un avenir commun. Ces instruments de paix ont rapproché les Burundais, les incitant à tourner la page et à œuvrer ensemble pour un futur sans divisions.

Héros, État de droit...

Dans cette dynamique, les modèles de leadership inspirants occupent une place de choix. Le pays a de leaders, des héros qui ont œuvré pour le bien-être collectif. Parcem juge que valoriser ces figures est essentiel, car elles incitent la population à s’investir davantage dans la construction d’une nation au profit de tout le monde.

Selon Faustin Ndikumana, le renforcement de l’État de droit apparaît également comme un pilier central dans cette vision.

Les élections libres et transparentes sont un autre aspect clé des propositions de la Parcem.
Enfin, la liberté économique et l’accès à des opportunités pour tous sont indispensables pour garantir l’unité des Burundais

Faustin Ndikumana a souligné l’importance de mettre en œuvre ces principes pour construire un Burundi plus fort, plus stable et uni. Selon lui, les bases posées aujourd’hui seront déterminantes pour le développement du pays à l’horizon 2040 et 2060.