Le gouvernement burundais annonce des incitations pour les investisseurs agro-pastoraux

Le Premier ministre Nestor Ntahontuye a dévoilé une série de mesures incitatives destinées à stimuler l’investissement dans les secteurs clés de l’agriculture et de l’élevage, lors d’une rencontre avec les opérateurs économiques œuvrant dans ces domaines.
Ces avantages incluent notamment la prise en charge par l’État des intérêts sur les prêts bancaires contractés dans un certain délai, la suppression des taxes sur l’importation de matériel agricole ainsi que sur les races animales importées, et la mise à disposition de terres domaniales pour les investisseurs porteurs de projets solides.
Mais l’accès à ces mesures est conditionné à des seuils de production élevés. Pour bénéficier de ces incitations : les éleveurs de bovins doivent disposer d’au moins 200 vaches,ceux de chèvres d’au moins 100 têtes,-les éleveurs de porcs 500 porcs,et ceux de lapins 300 animaux.
Le Premier ministre a insisté sur la nécessité pour les opérateurs économiques de s’impliquer davantage dans le développement du pays à travers ces secteurs stratégiques. « L’agriculture et l’élevage restent des piliers de notre économie. En soutenant les investisseurs sérieux, nous espérons impulser une dynamique forte et durable », a-t-il déclaré.
Cette politique de soutien s’inscrit dans une stratégie visant à renforcer l’autosuffisance alimentaire, moderniser la production agricole et améliorer les revenus des acteurs du monde rural.
Ces avantages incluent notamment la prise en charge par l’État des intérêts sur les prêts bancaires contractés dans un certain délai, la suppression des taxes sur l’importation de matériel agricole ainsi que sur les races animales importées, et la mise à disposition de terres domaniales pour les investisseurs porteurs de projets solides.
Mais l’accès à ces mesures est conditionné à des seuils de production élevés. Pour bénéficier de ces incitations : les éleveurs de bovins doivent disposer d’au moins 200 vaches,ceux de chèvres d’au moins 100 têtes,-les éleveurs de porcs 500 porcs,et ceux de lapins 300 animaux.
Le Premier ministre a insisté sur la nécessité pour les opérateurs économiques de s’impliquer davantage dans le développement du pays à travers ces secteurs stratégiques. « L’agriculture et l’élevage restent des piliers de notre économie. En soutenant les investisseurs sérieux, nous espérons impulser une dynamique forte et durable », a-t-il déclaré.
Une politique en tout cas de soutien qui s’inscrit dans une stratégie visant à renforcer l’autosuffisance alimentaire, moderniser la production agricole et améliorer les revenus des acteurs du monde rural.
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